Canon EOS 5

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Test du boitier semi-professionnel Canon EOS 5 

J’ai fait l’acqusition de mon premier boitier reflex argentique en octobre 2009.

Afin d’etre créatif durant ma formation à l’école de photographie de l’ETPA à Toulouse, il devenait évident que je devais investir dans du matériel argentique pour me faire la main.

C’est assez surprenant de faire le chemin inverse de nos ainés, c’est une sorte de retour aux sources.
Après réflections, je me suis orienté vers un reflex argentique 35mm de génération EOS afin de pouvoir utiliser les objectifs que je possède déja.
En effet, je dispose d’un certain nombre d’objectifs de qualité, cela m’évite donc de m’équiper doublement en utilisant une monture unique la monture EF de Canon.
Les EOS sont assez récent, le premier est sorti à la fin des années 1980. Tous les reflexs précédents sont en monture FD, ce qui aurait supposé l’achat de quelques objectifs Canon FD équivalents.

Mon choix s’est porté sur un des premiers EOS, un reflex haut de gamme semi professionel, sorti en 1992 : l’EOS 5.

Ce boitier est le premier reflex Canon à vocation pro de la gamme EOS, il dispose de toutes les fonctions nécessaires au pro ou à l’utilisateur exigeant, avec en plus un pilotage par l’oeil de son autofocus. Sa motorisation cpnséquente pourra se reveler suffisante à bon nombre de photographes de sport.

Caractéristiques de l’EOS 5 :

– Viseur fixe interchangeable
– AF 5 collimateurs
– DX manuel 6 – 6400 ISO
– DX Auto 25 – 5000 ISO
– Mesure sur 16 zones, Intégrale à prédominace centrale
– Mesure Spot (3,5%)
– Synchro flah au 1/200ème
– Obturateur 30 sec à 1/8000ème
– Surimpréssion de 2 à 9 images
– cadence de rafale de 5 images par secondes
– 16 fonctions personalisable
– bracketing
– Blocage du miroir relevé

Ce boîtier représente l’alternative à ceux qui ne désirent pas investir dans un EOS 3, mais qui désirent néanmoins une motorisation rapide. Son âge « vénérable » lui interdit l’usage de l’ETTL et de la synchro flash haute vitesse.

Le boitier est alimenté par une pilce 2CR5, il est équipé d’un flash intégré, d’une griffe port flash et d’une prise synchro flash.

Au niveau de l’ergonomie, on est très proche de celle d’un EOS numérique malgré un placement des commandes légérement différentes. C’est impressionant de voir à quel point on retrouve ses marques facilement.

On retrouve les mêmes modes de prise de vue quasiement que sur un EOS digital : M, Av, Tv, P et modes automatique et semi automatiques.

La monture de l’EOS 5 est EF, par conséquent vous ne pourrez pas utiliser vos objectifs EF-S reservé aux reflex petit capteurs qui ont donc un petit miroir. Le problème c’est que le groupe arrière de l’objectif rentre à l’intérieur de la cage réflex et le grand miroir d’un reflex plein format 24x36mm risque de heurter l’arrière de l’objectif et se briser.

Suite du test en cours de rédaction.

Premiers scan de négatifs 135 réalisés avec l’EOS 5 :

Scan d’un tirage NB personnel à l’aggrandisseur sur papier RC d’un négatif couleur Kodak 160VC-2.

Scan d’un négatif 135 Kodak 160VC-2 retravaillé dans Photoshop.

Sigma 24-70mm f/2.8 DG EX – Scan d’un tirage NB personnel à l’aggrandisseur sur papier RC d’un négatif couleur Kodak 160VC-2

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